augmentation des troubles mentaux et pénurie de services

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Les troubles mentaux en augmentation chez les enfants et les adolescents. L’alarme de l’enfant neuropsychiatre : « Crence des services dédiés à la santé mentale ».

Les mots « COVID-19[feminine » Et « crise» Ont été parmi les plus populaires de l’année dernière : de la crise sanitaire à la crise économique en passant par la crise gouvernementale. La pandémie causée par le Coronavirus a fait ressortir de nombreux problèmes critiques dans notre pays et a mis en lumière de multiples lacunes dans les secteurs de la santé et du travail. Hôpitaux surpeuplés, établissements de santé en difficulté, campagne de vaccination au ralenti. Sans parler du fermetures en raison des restrictions et des difficultés économiques auxquelles de nombreuses familles italiennes ont dû faire face. Mal conséquences du Covid-19 ils ne s’arrêtent pas là.

Les derniers mois ont entraîné de nombreux défis pour les professionnels de santé, les travailleurs, les étudiants, les membres de la famille des patients atteints de Covid-19, les personnes atteintes de troubles mentaux et pour les personnes en situation socio-économique défavorisée. D’où leimpact de la pandémie elle a entravé non seulement la croissance économique et sociale de la population, mais aussi le bien-être psychologique de nombreuses personnes.

L’impact de la pandémie a eu de graves répercussions sur santé mentale des adultes, mais aussi des plus petits qui se sont retrouvés enfermés dans la maison, renonçant à la fréquentation de l’école en présence et des activités sportives, ainsi que des relations sociales. Le tout pour éviter la contagion du « mauvais virus ».

Le confinement, l’isolement, la fermeture des écoles et des centres sportifs n’ont fait qu’amplifier certains troubles préexistants chez les enfants et les adolescents, ainsi qu’exacerber les demandes d’aide des désordre mental. Parlons de anxiété, l’automutilation, tentatives de suicide, dépression, attaques de panique, troubles du sommeil, agressivité, irritabilité. Le problème est que, comme nous l’avons dit au début, lors de celle-ci urgence, toutes les lacunes du secteur de la santé sont apparues, notamment en ce qui concerne les centres de neuropsychiatrie infantile.

Une alarme claire à cet égard a été donnée par le prof. Stefano Vicari (ordinaire de Neuropsychiatrie de l’enfant à l’Université catholique de Rome et médecin-chef à l’hôpital Bambino Gesù) : « Ces dernières années, il y a eu une augmentation drastique des demandes de diagnostic et d’intervention pour troubles neuropsychiques en âge de développement. Les troubles mentaux concernent 10% des enfants et 20% des adolescents, néanmoins les services présents sur le territoire sont en mesure de prendre en charge santé mentale ils sont très petits. En effet, il existe des régions quasiment dépourvues de centres de neuropsychiatrie infantile. Rester fermé à la maison n’est pas facile pour nous les adultes, presque impossible pour un enfant, surtout s’il a quelques difficultés. L’année dernière, nous avons négligé les plus faibles, en premier lieu les enfants handicapés. Là Pandémie de covid-19 accentué un phénomène déjà présent de manque de services dédiés à la santé mentale« .

Alors, parlons-en une urgence en cas d’urgence. Comment est-il possible d’intervenir ? « L’initiative parlementaire qui vise à renforcer la services de neuropsychiatrie c’est absolument indispensable. Là politique il doit prendre en charge cette situation et garantir le droit à la santé des nouvelles générations ».