la détresse psychologique causée par le Covid

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Une « tempête parfaite » : la pandémie affecte le corps mais aussi les affections, les finances, les habitudes, augmentant le risque d’un profond malaise intérieur.

Pour certains c’est déjà « l’autre pandémie» : République il en a parlé en ces termes dans un article de l’édition d’aujourd’hui. Les chiffres, en fait, sont passionnants : un million de nouveaux cas de détresse mentale, d’après les experts.

L’alarme vient de la Société italienne de NeuroPsicoFarmacologia (Sinpf), qui parle de « Syndémie ». L’encyclopédie Tresses le définit comme « ensemble de problèmes effets sanitaires, environnementaux, sociaux et économiques produits par l’interaction synergique de deux ou plusieurs maladies transmissibles et non transmissibles, caractérisées par de lourdes répercussions, en particulier sur les groupes de population défavorisés ».

Ici le synergie c’est le virus lui-même qui le crée, puisqu’il avait conséquences à plusieurs niveaux : des habitudes quotidiennes à la perte d’emploi ; des suites, il a laissé les infectés à ceux qui, en revanche, n’ont pas connu le virus sur leur peau mais ont perdu leurs proches.

Ce mélanger, selon les experts du Sinpf, est susceptible de faire de gros endommager du point de vue de santé mentale; ils en ont parlé au XXIIe congrès national, qui a débuté aujourd’hui et durera jusqu’au 29 janvier.

Le risque de problèmes mentaux pour ceux qui sont tombés malades

En particulier, les experts estiment que « quiconque est entré en contact avec le virus augmente la probabilité jusqu’à cinq fois symptômes dépresseurs par rapport à la population générale et on estime que jusqu’à 800 000 nouveaux cas de dépression (l’incidence de ce problème est estimée à environ 30% des patients Covid, précisent les experts, et les infections à ce jour sont déjà de 2,4 millions) ».

Que Covid s’attaque aussi aux système nerveux a déjà émergé de nombreuses études et statistiques. Le Sinpf confirme que « la moitié des manifestes infectés troubles psychiatriques avec une incidence de 42 % d’anxiété ou d’insomnie, 28 % de trouble de stress post-traumatique et 20 % de trouble obsessionnel-compulsif ».

Le risque de dépression pour ceux qui ont perdu leurs proches et leur emploi

Mais l’alerte s’adresse aussi à ceux qui n’ont pas vécu le virus de première main. LES morte il y en a eu 86 000 jusqu’à présent. Des adieux très douloureux, étant donné que la pandémie a également affecté les modes de gestion des deuil: il y a ceux qui n’acceptent toujours pas qu’ils n’ont pas pu saluer pour la dernière fois ou tenir la main d’un être cher qui est parti seul. 10 % des membres de la famille du victimes, pour cette raison même, il risque de devenir dépressif.

Ensuite, il y a le crise économique, l’autre face de la crise pandémique, qui a fait de nombreuses autres victimes, dans un autre sens, entre ceux qui ont perdu leur emploi et ceux qui ont vu leurs revenus drastiquement diminués. « Le risque de dépression double chez ceux qui ont un revenu inférieur à 15 mille euros par an et triple chez ceux qui sont au chômage », a-t-il expliqué à l’agence de presse. Adnkronos Claudio Mencacci, co-président du Sinpf, qui quantifie les nouvelles dépressions dues à la chômage dans « au moins 150 mille nouveaux cas ».

Les plus touchés : les femmes, les jeunes et les moins jeunes. Les premiers parce qu’ils ont vu plus que les hommes augmenter pression en raison d’engagements familiaux, également influencés par le point de vue du travail. Les jeunes, par contre, ne comprennent pas les leurs liberté annihiler. Alors que les personnes âgées sont celles qui risquent le plus en termes de santé. Une situation explosive car, comme le rappelle Mencacci, « les familles en état de la pauvreté absolue il y en a 2,1 millions, en constante augmentation : les difficultés économiques déclenchent la maladie mentale ».

Conseil d’Expert

Seuls deux remèdes : essayer de responsabiliser le services de santé et faire sentir aux patients et à leurs familles la proximité du personnel de santé. Le médecin de famille il est le premier à constater des symptômes de détresse psychologique et conseille rapidement à la personne concernée de consulter un spécialiste.

L’autre conseil est d’éviter de prendre médicaments psychotropes seul : il est toujours bon de le faire uniquement sur prescription médicale et si strictement nécessaire.